Le blog des entrepreneurs Stage en Start up et Kebab même combat !
Manger un kebab et faire un stage en start up comporte de nombreux points communs. Vous en doutez ? Découvrez les dans cet article et n’hésitez pas à ajouter d’autres comparaisons.
Quel est le point commun entre un Kebab et un stage en start up? Allant tous les vendredi manger mon Kebab, la vérité m’a sauté aux yeux : Manger un Kebab et faire un stage en start up comportent de nombreux points communs, positifs et négatifs. Petite revue de ces points communs et n’oubliez pas que “pour votre santé il faut pratiquer une activité physique régulière“.
Annoncez à votre famille que vous faites un stage en start up. Vous verrez se dessiner sur leur visage la même mine suspicieuse, un brin dégoutée que lorsque vous proposez d”aller manger un grec sauce blanche ce midi“.
Ce n’est pas prestigieux, sur le CV, c’est toujours moins tape à l’oeil qu’un stage en finance chez Morgan Stanley, mais pourtant on est content d’y aller.
Rien de plus complet qu’un Kebab : de la salade de la viande (?) et des féculents. Qu’espérer de plus ?
Le stage en start up est aussi complet que peut l’être un Kebab le midi. Vous toucherez à tout :de la communication à la comptabilité en passant par la réparation de la photocopieuse (quand il y en a une).
En start up, l’hygiène de vie n’est pas toujours des meilleures : Horaires décalés, grignotage, repas sur le pouce.. Bref, mangez un kebab tous les jours provoque les mêmes effets.
C’est certain, le stage en start up ne fait pas toujours rêver les copains (quoique.. de plus en plus à la mode), mais en tout cas, on en garde toujours d’excellents souvenirs. Et comme pour le Kebab qui, lorsqu’il arrive dans l’assiette projette toujours un doute dans notre esprit (est-ce vraiment comestible? Est-ce de la viande? ) on n’a qu’une seule envie après l’avoir quitté : Y retourner !
Vous avez déjà vu une pub pour un Kebab sur Tf1 ? Jamais. Même chose pour le stage en start up. On vous demande d’attirer des clients avec 27.50€ de budget de communication. Et pourtant, petit à petit on y arrive. Tout comme le kebab du coin est toujours plein à midi avec pour seul budget “com” une carte fidélité tâchée d’huile, la start up doit trouver des moyens innovants de se faire connaître.
On ne fait pas son stage en start up pour le plaisir du chèque à la fin du mois. 570€ ne vont pas changer la vie. Mais les avantages en nature sont ceux qui procurent le plus de plaisir au travail comme le choix des sauces et la qualité des frites grillées dans votre plateau et la possibilité d’asperger vos frites d’autant de sel que vous le souhaitez (pas comme ces radins du mac do). En start up, c’est l’ambiance, le travail en équipe, la bonne nouvelle de la journée à côté des 5 mauvaises nouvelles, la bière d’équipe du jeudi soir et la diversité des tâches qui permettent de rendre le travail unique et passionnant.
Si Macdo est connu pour la standardisation de ses process et le fait que chaque hamburger se ressemblera que vous soyez à Moscou ou à Paris, le Kebab lui est reconnu pour son absence de process, son artisanat et le fait que chaque formule est unique. D’ailleurs, peu de chaines de kebab se sont développées. Un peu comme en start up où chaque journée est différente et ou la to do list change.. chaque heure !
Essayez de revendre le Kebab que vous venez d’acheter… impossible. Ne nous leurrons pas : malgré tous les discours déclarant qu’un stage en start up est formateur, sur un CV, un recruteur classique préférera toujours un stage dans une entreprise prestigieuse. C’est toujours plus lisible. Et tant pis. Car un stage en start up vous préparera mieux que quiconque à l’entreprenueuriat et à travailler dans une TPE/PME. Expérience difficile à revendre sur son CV mais lorsque vous serez pris en entretien “‘malgré tout” l’expérience accumulée fera la différence.
S’il est possible d’aller manger son kebab en costard, c’est peu recommandé. Une tâche et voilà votre Cerruti bousillé pour la vie. Même chose en start up…La tenue officielle : celle que vous voulez pourvu que vous soyez efficace et qu’il n’y ait pas de rendez-vous client.
Ha ça en fait non !
Et vous, vous voyez d’autres points communs ?
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Gaëtan Baudry
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